exposition de Philippe Debiève et Marie-T Chailan

Du 6 septembre au 4 octobre 2025 à Sainte-Croix : Galerie Le Bunker

exposition de Philippe Debiève, Balcon-transit(s) et Marie-T Chailan, Bois vivants

Vernissage en présence des artistes : samedi 6 septembre de 11h à 17h

Les artistes seront présents les week-ends des 20-21 et 27-28/9 et le samedi 4/10 dès 14h. De plus Marie-T Chailan sera présente le vendredi 3/10

Les 20, 21, 27 et 28/9 Philippe Debiève fera votre portrait dans le studio de campagne installé au Bunker (sur inscription à la Galerie, 20.- la séance, tirages selon entente)

Une exposition qui nous apprend à voir.

En septembre, les deux artistes qui exposent leurs œuvres ,à la galerie Le Bunker, n’ont de prime abord, pas grand-chose en commun.

Ce qui a poussé, la galeriste, Jenny-Anne a leur proposer d’exposer ensemble c’est leur regard. De ces choses que nous croisons tous les jours, ils donnent une vision qui justement nous sort du quotidien et nous permet de trouver dans la banalité une ouverture sur l’imaginaire.

Philippe Debiève a arpenter la région avec son appareil photo et nous présente de magnifiques cyanotypes qu’il développe lui-même. Il se considère comme un portraitiste narratif. Il tente de découvrir « l’âme » des êtres et des lieux en portant son attention sur la rencontre et son intensité.
Dans cette exposition, il nous propose un arrêt sur image, une synthèse de ses ressentis, sous la forme d’évocations photographiques. Il ne s’agit pas d’un voyage touristique mais de pérégrinations intérieures, intimistes, liées au regard qu’il porte sur le Balcon du Jura.

C'est avec passion, que la sculptrice Marie-T Chailan a découvert, dans la nature, matière à imaginer, à créer, à rêver, à faire rêver aussi peut-être…
Elle ramène, de ses promenades, bois flottés, branches, racines ou étranges écorces. Et, sous ses doigts, grâce à l’argile qu’elle sculpte, elle leur donne une seconde naissance, une vie nouvelle, bois devenus humains désormais…

Cette exposition, nous invite à renouveler notre regard.

À découvrir, comme dans les photographies de Philippe Debiève, l’âme des lieux et la poésie dans la banalité du quotidien. Ou, comme le fait Marie-T Chailan, à oser rêver et voir dans un morceau de bois mort le corps d'une sculpture.

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