L'OSR interprète 'Gran Partita' de Mozart, le 11 janvier 2026 au Conservatoire de Musique de Genève, dans le cadre de la série Musique de Chambre 2025-2026.
Le programme :
Nora Cismondi hautbois
Michel Westphal clarinette
Benoît Willmann clarinette
Guillaume Le Corre cor de basset
Camillo Battistello cor de basset
Francisco Cerpa Román basson
Vincent Godel basson
Jean-Pierre Berry cor
Alexis Crouzil cor
Agnès Chopin cor
Clément Charpentier-Leroy cor
Héctor Sapiña Lledó contrebasse
Wolfgang Amadeus Mozart
Sérénade N° 10 en si bémol majeur KV 361, dite 'Gran Partita'
Qui ne se souvient pas d’un Salieri cloué d’effroi devant le génie de Mozart en écoutant le sublime adagio de la Sérénade 'Grand Partita' en si bémol majeur dans le film de Milos Forman ? Cette scène admirable en dit long sur le mystère de la création à un tel niveau. On ne sait pourtant rien de cette œuvre, ni la date de sa composition, ni même l’origine de son titre mystérieux. Ce qui est sûr, c’est la profonde maturité de son écriture, sa difficulté d’exécution et une qualité expressive qu’on ne rencontre guère dans les sérénades divertissantes de cette époque.
Sommet de la partition, cet adagio est un véritable miracle avec les volutes expressives du hautbois et de la clarinette
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L'OSR interprète 'Gran Partita' de Mozart, le 11 janvier 2026 au Conservatoire de Musique de Genève, dans le cadre de la série Musique de Chambre 2025-2026.
Le programme :
Nora Cismondi hautbois
Michel Westphal clarinette
Benoît Willmann clarinette
Guillaume Le Corre cor de basset
Camillo Battistello cor de basset
Francisco Cerpa Román basson
Vincent Godel basson
Jean-Pierre Berry cor
Alexis Crouzil cor
Agnès Chopin cor
Clément Charpentier-Leroy cor
Héctor Sapiña Lledó contrebasse
Wolfgang Amadeus Mozart
Sérénade N° 10 en si bémol majeur KV 361, dite 'Gran Partita'
Qui ne se souvient pas d’un Salieri cloué d’effroi devant le génie de Mozart en écoutant le sublime adagio de la Sérénade 'Grand Partita' en si bémol majeur dans le film de Milos Forman ? Cette scène admirable en dit long sur le mystère de la création à un tel niveau. On ne sait pourtant rien de cette œuvre, ni la date de sa composition, ni même l’origine de son titre mystérieux. Ce qui est sûr, c’est la profonde maturité de son écriture, sa difficulté d’exécution et une qualité expressive qu’on ne rencontre guère dans les sérénades divertissantes de cette époque.
Sommet de la partition, cet adagio est un véritable miracle avec les volutes expressives du hautbois et de la clarinette s’élevant sur une douce pulsation semblable aux battements du cœur. Les six autres mouvements sont au diapason entraînés par le premier clarinettiste qui semble être le meneur de jeu, jusqu’au rondo final d’une folle gaieté enchaînant les mélodies dans une écriture virtuose certainement destinée à des interprètes aguerris.
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